La Rochelle
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Introduction

Il n'y a rien d'anodin en ce qui concerne La Rochelle. C'est une ville moderne intéressante et son histoire l'est encore plus. N'hésitez donc pas à consulter wikipedia ou autres sources si cela vous tente.

Prologue

C'est sur une idée de Henri que Gull a préparé des roadbooks pour un voyage de sept jours: deux jours pour rallier La Rochelle, trois jours sur place, puis deux jours pour remonter en Belgique. Les dates ont été fixées tardivement et comme j'avais du temps libre, je me suis laissé tenter pour accompagner Gull, notre capitaine de route, Henri et Jacques.

Gull nous avait envoyé les roadbooks Tripy bien à l'avance mais j'avais réussi à les égarer. Il me les a alors renvoyés trois jours avant le départ ce qui ne m'a pas laissé beaucoup de temps pour les analyser. J'ai pu seulement regarder à fond les deux jours pour descendre et les deux jours pour remonter et j'ai fait quelques modifications mineures pour corriger ce qui me semblait être des erreurs.

De plus, j'avais l'intention de m'arrêter à Parthenay le deuxième jour pour rendre visite à ma maraine et j'avais aussi prévu de visiter Noirmoutier et le musée de La Guérinière mais ceci est une autre histoire.

Jour 1: Belgique - Chartres

Ayant rejoint Chimay à 9:45, pile à l'heure recommandée, j'ai retrouvé Henri et Jacques et nous avons attendu Gull qui avait eu quelques difficultés à démarrer sa moto. Comme quoi, il n'est pas toujours utile d'avoir trop de gadgets et/ou d'options et que la simplicité et parfois préférable.

Partis un peu après 10:00, nous avons fait un premier arrêt au monument de l'Etoile dans la forêt de Saint-Michel, à 20 kms à peine plus loin, pour attendre Jacques qui devait faire le plein. Puis nous avons continué jusqu'à Crépy-en-Valois où nous avons mangé dans un restaurant italien qui a bien voulu servir quatre motards. Nous avons repris la route assez tard avec un premier arrêt culturel le long de la D44 pour prendre une photo du chateau de Chantilly puis un deuxième arrêt au cimetierre de Auvers-sur-Oise pour essayer de réveiller Van Gogh... sans succès.

La circulation était devenu difficile en ce milieu d'après-midi et c'est à partir de là que j'ai pris un itinéraire différent de celui de Gull. Alors que le roadbook de Gull nous faisait rejoindre la N184 puis la A15, j'avais un itinéraire basé sur une première version et qui faisait traverser Pontaise par une route longeant l'Oise. J'ai comme ça pu éviter quelques sérieux embouteillages car la circulation était devenue vraiment pénible.

Ca s'est un peu calmé sur les derniers 100 kilomètres et, arrivé à Barjouville au sud de Chartres en avance sur les autres, j'ai eu le temps de faire le plein. Par contre, je n'avais pas l'adresse du bon hôtel et je me suis pointé à la réception du Première Classe au lieu du Logis Hôtel. Tout s'est arrangé quand les autres sont arrivés.

Lors de ce voyage, j'ai partagé la chambre Twin avec Henri qui ne trouve jamais de cokoteur car il ronfle fort. Sauf que moi, ça ne me gêne par pour dormir. Après une bonne douche, nous sommes allés en quête d'un restaurant et nous avons sélectionné un restaurant italien qui m'a un peu déçu: après ma pizza de midi, j'avais opté pour une salade pour compenser l'apport en calories mais elle n'avait aucun gout.

Jour 2: Chartres - La Rochelle

Après un solide petit-déjeuner à l'hôtel, nous sommes partis d'assez bonne heure. Nous avions tous fait le plein la veille et nous avons retrouvé des routes très agréables et sans circulation. Au bout d'un certains nombres de kilomètres, les routes nationales bien droites et limitées à du 90 km/h, ça devient un peu lassant. Gull avait eu la bonne idée d'ajouter quelques crochets sur son roadbook pour sortir de la RN et emprunter des petites routes, histoire de se distraire.

Nous avons fait une halte à Joué-les-Tours au Burger King que Gull avait pris soin d'indiquer sur son roadbook. A partir de là, j'ai quitté les autres pour rejoindre Parthenay où j'avais prévu de rendre visite à ma marraine. Je comptais arriver vers 15:00 pour rester deux heures; j'y suis arrivé à 14:30 et suis reparti à 17:30 après une longue discussion à propos du musée des arts et traditions de La Guérinière. C'est le musée dont ma marraine a été la fondatrice et qui a fêté ses 50 ans en juillet 2023. Il était prévu que je le visite la semaine suivante et que je prenne des photos pour les lui envoyer (ma marraine a 92 ans et ne veut plus se déplacer sur de longues distances).

Je suis donc reparti à 17:30 pour parcourir les derniers 100 kilomètres pour rejoindre La Rochelle et notre hôtel Le Masq tout près de la gare. J'y ai retrouvé Henri, Gull et Jacques qui m'a gentiment indiqué où je pouvais garer ma moto dans le parking souterrain. Le soir, nous sommes allés souper au Bistrot Gourmand, recommandé par Agathe à la réception de l'hôtel. Nous avons été surpris par le nombre de jeunes gens qui étaient en ville et en avons deduit que La Rochelle devait avoir une cité universitaire.

Jour 3: La Rochelle à pied

Pas de balade moto prévue ce dimanche; après 850 kilomètres en deux jours, on avait décidé de visiter La Rochelle à pied. M'étant levé à 7:00 et avec une heure et demie à perdre avant le petit-déjeuner, j'ai profité de mon temps libre pour aller reconnaitre les lieux. Nous avions prévu de visiter le musée maritime et dans mon repérage, j'ai pris note des heures d'ouverture du musée, de l'aquarium, du restaurant La Marée et du café de la gare qui proposait un petit-déjeuner à 7,90 euros.

De retour à l'hôtel, j'ai partagé mes informations avec les autres pendant le petit-déjeuner. Nous sommes partis nous promener vers 9:30 alors que la météo annonçait un temps changeant avec possibilité d'une averse ou deux. Nous avons commencé par la visite de l'aquarium qui ouvrait ses portes à 10:00. C'est une visite qui vaut vraiment la peine et j'ai pris quelques photos que j'ai mises sur Google photos.

Après avoir mangé dans une zone avec divers food-trucks, nous sommes allés visiter le musée maritime qui est certes moins intéressant que l'aquarium mais qui vaut quand même le détour car on peut visiter plusieurs bateaux dont le France 1, un bateau météorologique; voir les photos sur Google photos.

Il y a eu une petite drache lors de la visite du musée puis le ciel s'est éclairci et nous sommes allés visiter la ville.

Après quoi nous sommes rentrés à l'hôtel pour deux heures avant de ressortir pour aller souper. Nous avons sélectionné le Merluberlu, un bar à tapas, ce qui n'était pas la meilleure idée qu'on a eue. Le service était très froid et le choix de plat était très limité. On aurait pu trouver mieux.

Nous sommes rentrés à l'hôtel en faisant un détour par la vieille ville et après avoir repéré un chouette restaurant italien pour le lendemain.

Jour 4: Le marais Poitevin

On s'était donné rendez-vous le matin à 8:30 pour aller prendre notre petit-déjeuner au bistrot en face de la gare. Pour 7,90 euros, on a eu droit à un grand café au lait, un jus d'orange, un croissant, du pain, du beurre et de la confiture. Que demander de plus ?

De retour à l'hôtel pour prendre les motos, nous sommes partis pour le marais Poitevin après un début difficile où on s'est tous perdus. Nous devions tous faire le plein et on avait opté pour le Leclerc qui était un peu en dehors du roadbook. Gull n'a pas voulu s'en écarter et nous a quittés. Henri, Jacques et moi y avons pris de l'essence mais nous avons eu du mal à rejoindre le roadbook: Le Tripy nous a joué des tours (chacun avec son Tripy) en voulant nous ramener à l'hôtel. M'étant rendu compte de la supercherie, j'ai laissé Jacques qui roulait en tête pour prendre la bonne route pour sortir de La Rochelle. Henri ne m'a pas suivi et je me suis retrouvé seul sur le tracé du roadbook.

Après une petite trentaine de kilomètres, je me suis arrêté pour attendre les autres, en pensant que Gull était loin devant. Ce fut en fait le premier à me rejoindre car il s'était aussi arrêté pour prendre de l'essence. Jacques et Henri sont arrivés quelques minutes plus tard.

Nous avons commencé la visite du marais Poitevin par une petite route défoncée qui traversait un paysage ressemblant fort à la Flandre occidentale: un terrain sans relief et dénudé. Heureusement, le décor s'est aémélioré après avoir traversé la D10a.

Par contre, pas facile de trouver à manger. Apparemment, la saison touristique n'est pas encore ouverte. Nous nous sommes arrêtés dans le petit village de Maillé où Gull avait repéré une boulangerie ouverte et où nous avons pu acheté des sandwichs. En continuant notre route après avoir mangé, nous nous sommes arrêtés une dernière fois à Coulon. Nous n'avons pas fait de promenade en barque mais avons profité du jardin de La Passerelle où j'ai mangé une crêpe au miel.

Le retour à La Rochelle s'est fait à l'heure de pointe via la N11 en évitant le gendarme à lunettes qui s'était placé en embuscade au niveau de la station essence TotalEnergies. Pour le repas du soir, nous sommes allés tôt au restaurant Ragazzi da Peppone rue Saint Nicolas où nous avons très bien mangé. Et comme j'avais été sage en prenant une salade, je me suis offert en dessert un 4810m.

Il était prévu que le lendemain, mardi, j'irai à La Guérinière sur l'ile de Noirmoutier pour visiter le musée des arts et traditions dont ma marraine a été la fondatrice. En plus d'être fermé le dimanche et le lundi, le musée n'ouvre qu'à 14:00 en basse saison. Je n'avais donc que le mardi pour y aller. Comble de malchance, ma marraine m'a téléphoné ce jour pour m'informer que le musée serait exceptionnellement fermé ce mardi. De nous deux, je crois qu'elle était la plus déçue car elle comptait vraiment sur ma visite pour que je prenne des photos et les lui transmette. Ce sera partie remise en espérant pouvoir y aller cet été.

Jour 5: Rochefort

Comme la veille, nous avons pris notre petit-déjeuner au bistrot en face de la gare. Puis nous sommes rentrés à l'hôtel pour prendre nos motos et partir en direction du sud. Nous avions décidé d'aller visiter Rochefort et son vaisseau l'Hermione, avec éventuellement un saut jusqu'au musée de l'aéronautique navale suite à une suggestion de Jacques.

Il n'y avait qu'une grosse trentaine de kilomètres entre La Rochelle et Rochefort où nous sommes arrivés vers 9:30. Pendant que les autres visitaient la corderie, j'ai été voir la boutique de l'Hermione à défaut d'avoir pu voir l'Hermione qui serait en attente dans le port de Bayonne.

J'ai été un peu déçu de ne pas avoir pu voir le vaisseau de la liberté alors je suis allé faire un petit tour en ville avant de m'installer en plein soleil à la terrasse d'un café. Gull, Henri et Jacques m'ont rejoint vers 11:30 puis on a pris la direction du musée de l'aéronautique navale qui se trouvait à 5 kms. Pas de chance ! Le musée n'ouvrait qu'à 14:00. Nous sommes donc allés manger à un MacDo du coin avant de revenir au musée qui a ouvert ses portes pile à l'heure.

J'ai pris quelques photos que vous pouvez voir sur Google photos.

Après la visite, nous nous sommes mis d'accord pour rentrer à l'hôtel en rejoignant le roadbook à quelques kilomètres de là. Je me rapelle avoir pris une portion d'autoroute payante (environ 70 centimes) ce qui m'a mis de mauvaise humeur, pas du fait de devoir payer 70 centimes mais toute la procédure pour passer le péage:

Bref, tout ça m'a mis de mauvaise humeur mais j'ai réussi à rattraper le groupe car Jacques roulait en tête à une allure de sénateur.

Après quelques kilomètres, j'en ai eu marre et j'ai dépassé tout le monde avec Gull qui m'a suivi et on a roulé à une vitesse raisonable. A la sortie de La Jarne, le Tripy m'a envoyé à gauche pour une raison que seul le programmeur pourrait expliquer. Je me suis rendu compte que j'étais sorti du roadbook un peu tard et je n'ai pu faire demi-tour que 500m plus loin. Du coup, j'avais perdu les autres et me retrouvais bon dernier.

Arrivé à La Rochelle, le Tripy m'a encore joué des tours en me faisant repartir en direction de Rochefort ! Je crois avoir enfin compris le problème: quand on sort de l'itinéraire du roadbook sur un tracé où deux tronçons se croisent (genre un premier tronçon pour le départ et un second tronçon pour le retour) et qu'on retrouve le tracé, Tripy sélectionne le tronçon pour le départ. C'est la raison pour laquelle mon Tripy voulait me faire repartir vers Rochefort au lieu de me guider vers l'hôtel.

Il y a deux moyens pour contourner ce problème:

  1. créer un roadbook en évitant un aller-retour sur un même tracé,
  2. utiliser un GPS (autre que le Tripy) pour suivre la trace

Arrivé à l'hôtel bon dernier, je me suis pris une bonne Leffe au bar pour me remonter le moral. Et pour le repas du soir, nous nous sommes mis d'accord pour retourner au Ragazzi da Peppone où nous avions si bien soupé la veille. J'ai commandé une escalope de veau saltimbocca qui était excellente et une mousse au chocolat en dessert, tout aussi bonne. Vous l'aurez compris, je recommande vivement cet établissement.

Jour 6: La Rochelle - Jargeau

Troisième fois que nous allons prendre notre petit-déjeuner au bistrot de la gare, un peu plus tôt que d'habitude car on a 380 kilomètres à parcourir ce mercredi. Partis vers 9:00 de l'hôtel, nous avions prévu de faire une halte à Romorantin-Lantenay pour la visite du musée Matra. La route N11 entre La Rochelle et Niort est une double-voie presque tout du long et est limitée à du 110 km/h. Cela n'a pas empêché Jacques de se trainer et de perdre Henri de vue, ce qui fait que je l'ai dépassé pour rester en contact avec la tête de file. A noter que Gull était parti un peu plus tôt car il avait l'intention de repasser par le magasin Thonnard en périphérie de Niort pour essayer de soustraire des graines de haricot magique au patron.

Je ne me rappelle plus comment, à un certain moment et pour quelle raison, j'ai perdu Henri qui roulait devant et Jacques qui roulait derrière. Ce n'est pas très grave car on s'était donné rendez-vous au musée Matra. Après 174 kilomètres, je me suis arrêté au Vénézia à Chauvigny pour boire un café et juste à côté d'une boulangerie où j'ai acheté un sandwich. J'ai attendu les autres pendant quelques minutes avant de repartir seul pour les 140 kilomètres jusqu'à Romorantin où j'ai pris de l'essence avant de me poster devant le musée Matra. Et j'en ai profité pour manger mon sandwich avant que Henri me rejoigne.

Nous avons fait la visite du musée en une petite heure puis nous sommes allés retrouver Gull qui s'était installé à la terrasse d'un café à quelques centaines de mètres de là. J'ai pris quelques photos que vous pouvez voir sur Google photos.

Après le musée et le verre en terrasse, il ne restait que environ 70 kilomètres jusqu'à notre hôtel à Jargeau. Mais ça a été les 70 kilomètres les plus mouillés de tout le voyage. Nous avons été saucés par une bonne drache à environ 20 kilomètres de l'arrivée. Arrivés à l'hôtel, la porte donnant à la réception était fermée et un petit mot lisait: "en cas d'absence, veuillez téléphoner au..." avec le numéro de téléphone. J'ai donc téléphoné au ... pour avoir les instructions pour pouvoir aller dans nos chambres et enlever les vêtements mouillés.

Après m'être changé, je suis descendu pour attendre Jacques (qui n'était pas avec nous) juste à temps pour le voir arriver. Le soir, nous avons fait une petite promenade jusqu'à la Loire et avons pris l'apéritif en ville avant d'aller manger au restaurant de l'hôtel qui est très raisonable (le restaurant, pas l'hôtel): un menu entrée-plat-dessert pour 28 euros. Après quoi nous sommes allés faire une petite promenade digestive sur le pont sur la Loire.

Jour 7: Jargeau - Chimay

Il m'arrive de vouloir rouler seul et j'aime bien ça. En général, c'est moi qui décide de le faire et, si j'ai oublié de prévenir les autres, ils me connaissent maintenant assez bien pour ne pas m'en vouloir. Par contre, pour ce dernier jour de voyage, je me suis retrouvé tout seul pendant 95% du trajet, c'est-à-dire 420 kilomètres sur les 440 pour rentrer à la maison. Après à peine 20 kms, je me suis arrêté car mon Tripy 2 avait un problème d'affichage: le contraste était mal réglé et je ne pouvais pas me guider dans les menus. Henri était parti de Jargeau en tête, suivi de Gull et puis de Jacques. J'étais donc bon dernier.

Après quelques minutes, je me suis donc retrouvé seul et j'ai décidé cette fois-ci de rouler calmement en respectant les limites de vitesse. Ca m'arrive parfois et c'est bien agréable quand il n'y a pas de circulation et qu'on n'est pas obligé de slalomer entre les camping-cars ou autres obstacles. Je pensais pouvoir retrouver les autres sur la route à l'occasion d'un arrêt boisson mais il n'y en a rien été. Sauf quand je m'apprêtais à repartir après avoir pris des photos du chateau de Blandy et que Gull venait de s'y arrêter. J'avais aussi croisé le chemin de Jacques à Pithiviers dans les travaux mais il ne m'a pas suivi quand j'ai contourné Malesherbes plutôt que de traverser la ville comme indiqué sur le roadbook.

Je me suis arrêté un peu après midi à Montreuil-aux-lions pour acheter un sandwich à la boulangerie des templiers puis de nouveau à Saint-Michel pour ma couque que j'avais achetée à la boulangerie. J'ai ensuite pris de l'essence à Chimay après avoir traverser Seloignes vers 15:00, pensant que Henri n'était sans doute pas encore arrivé chez lui. Je suis arrivé à la maison à 16:30 après huit heures de route et 440 kms. Ce n'est pas une moyenne fantastique mais j'ai réussi à respecter les limites de vitesse, aussi bien en agglomération que sur routes ouvertes.

Epilogue

Merci à Gull, Henri et Jacques (alias Waldorf, Statler et Tournesol) pour la compagnie et tout spécialement Gull pour l'organisation.

Et qu'en est-il du petit bouton hon hon hon, le petit bouton hon hon ?
Et bien, ce petit bouton actionne les poignées chauffantes... que je n'ai pas comme option. Donc il ne sert à rien.

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