Je vais commencer par une mise en garde que je vais faire de manière la plus diplomatique possible car je ne veux pas froisser les copains. Et comme je sais que certains peuvent être susceptibles, ce que je vais annoncer est un peu risqué. Mais je préfère en être débarassé dès le début de ce compte-rendu qui, je le rappelle, est principalement rédigé pour mon compte afin que je puisse me souvenir de mes sorties à moto.

Lors de ces 3 jours, il y a eu un ou deux couacs.

1. Le premier est relatif au repas du samedi soir qui était en fait un repas-karaoké-dansant avec animation par le gérant de l'hotel. Je reconnais qu'il se débrouillait très bien pour mettre de l'ambiance avec, heureusement, la contribution majeure de Zouzoute pour le karaoké et, malheureusement, une sono qui était beaucoup trop forte. Le repas a été servi tard: 22:00 pour l'entrée, 23:00 pour le plat principal et on n'a pas vu le dessert car on est tous partis se coucher à minuit. Ce n'est pas les 3 ou 4 zakouskis servis entre 9:00 et 10:00 qui ont sauvé la mise, ni le prix de 40 euros d'ailleurs.
2. Le deuxième est dû à un changement de programme le dimanche matin au sujet duquel je n'ai pas été averti. Il avait été prévu de se rendre à Villequier vers 10:00 pour avoir le temps de s'installer en bord de Seine et voir passer les bateaux à partir de 11:00. Il avait été dit plusieurs fois la veille qu'il ne fallait pas trainer car il y aurait foule et que les places étaient difficiles à trouver. Quand nous sommes partis de l'hôtel, j'étais en queue de peloton. Etant sur la réserve, je devais prendre de l'essence mais n'étais pas inquiet car j'avais le road-book du jour 2 "Aller" sur mon Tripy. J'ai été un peu surpris quand j'ai vu qu'on s'éloignait du point d'arrivée. Puis quand l'aiguille de ma jauge de carburant est tombée sur le zéro, j'ai préféré quitter le groupe et chercher une pompe à essence. Après avoir fait le plein, je n'avais qu'une seule option: c'était de me rendre à Villequier puisque je ne savais pas où les autres étaient passés. Je suis donc arrivé vers 11:20 au lieu de rendez-vous, quelques 3 heures en avance sur le groupe qui était allé visiter une abbaye (je crois).

Samedi 15 juin

Rendez-vous à Chimay avec un départ prévu à 10:00. A part une grosse averse antre Nivelles et Charleroi, la journée a été belle. Les routes étaint du genre Capmoto le matin avec quelques visites culturelles au programme. Après le repas à Villers-Carbonnel, c'est devenu un peu plus roulant et le groupe s'est disloqué. Roulant en troisième et dernière position derrière Jacques et Solange suivis de Marcel et Martine, je les ai lachés quand Jacques s'est trompé pour une Xième fois. J'ai bien retrouvé Jacques plus loin et nous sommes arrivés à l'hôtel un peu après 19:00.

Comme je l'ai écrit plus haut, le repas qui était prévu à 20:00 a en fait été servi vers 22:00. Et j'avais faim ! Les autres convives étaient des locaux qui étaient venus spécialement pour la soirée karaoké. Le patron de l'hôtel les accueillait un par un et on voyait bien que c'était des habitués. J'ai abandonné à minuit (sans voir le dessert, snif !) et, heureusement, le lit était confortable.

Dimanche 16 juin

J'ai déjà raconté la plus grande partie de cette journée. Nous sommes restés voir passer les bateaux jusqu'à 18:00 passé, juste au moment ou une petite averse nous a arrosés. Il y avait énormément de monde le long du fleuve et le spectacle valait le déplacement. J'avais pris soin de m'acheter un sandwich et une boisson lors de mon arrêt pour faire le plein. En attendant les autres, j'étais aller faire une petite balade à pied et j'avais aussi indiqué à Serge et Viviane, des anciens collègues du boulot, où je me trouvais. Ils nous ont retrouvés vers 14:40 un peu avant le passage du premier bateau.

Pour le repas du soir, Henri avait réservé une table pour 8 au Grill des Champs près de Yvetôt où nous avons bien mangé avant de rentrer à l'hôtel vers 22:00. Il y a eu un troisième couac dont je suis le seul responsable: arrivé dans la parking du restaurant, j'ai rappelé ma fille qui m'avait laissé un message et la conversation a bien duré une demie heure. Les autres devaient s'impatienter en m'attendant...

Lundi 17 juin

Parce que je devais rentrer tôt pour accueillir de la famille, raison que j'avais pris soin d'annoncer aux autres une semaine avant, j'avais préparé un road-book qui empruntait principalement les autoroutes. Parti un peu avant 9:00, je suis arrivé à la maison vers 12:45 ce qui m'a donné le temps de me préparer à l'arrivée de ma soeur et de son mari. J'avais pris avec moi le badge SANEF pour ne pas devoir utiliser les tickets d'autoroute et ne pas devoir sortir ma carte mais ça n'a pas fonctionné. J'ai quand même trouvé le truc: en mettant le ticket et ma carte VISA dans la poche du sac de réservoir (acheté chez RAD spécialement pour l'occasion la veille du départ), pas besoin d'enlever ses gants.

Les photos

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