le sud du 22 avril au 1 mai
Totalisateur: 400Partiel: + 4740 = 5140

Première partie: 1360 kms (départ: 400 - retour: 1760) entracte: 40 kms (entretien des 1000 kms) Deuxième partie: 3340 kms (départ: 1800 - retour: 5140)

Participants: Henri, Jacques et Solange, Didier et François

mercredi 22 avril

Départ avec une demie heure de retard à 10:30 de Seloignes pour un peu plus de 500 kms jusqu'à Saint-Pourçain-sur-Sioule. Henri nous a guidés jusqu'à Hirson pour prendre de l'essence puis avons suivi le road-book que j'avais préparé sur le Tripy. Il faisait beau mais nous n'avons pas eu beaucoup de temps pour flaner car nous ne voulions pas arriver trop tard à l'hôtel. Nous n'avons fait que deux arrêts: un premier pour pique-niquer sous la statue d'Urbain II à Châtillon-sur-Marne et un deuxième pour le café à Montmirail.

Nous sommes arrivés au Chêne Vert à Saint-Pourçain un peu après 19:30 ce qui nous a permis de prendre une bonne douche avant de passer au café Le Bourbonnais pour une bière suivie d'un repas très correct. Henri avait fait des réservations VRP ce qui signifie que le repas et le petit-déjeuner étaient compris dans le prix.

jeudi 23 avril

Ma nouvelle moto ayant maintenant un peu plus de 1000 kms, il fallait faire le premier entretien. Plutôt que de tenter ma chance à Narbonne ou à Carcassonne, j'ai préféré rester fidèle à mon nouveau garage de Chaumont-Gistoux et instaurer une relation de confiance avec Mecanic Motos. J'avais réservé ce premier entretien pour le vendredi 24 avril et je devais donc remonter en Belgique assez rapidement pour rentrer la moto avant 18:00 ce jeudi.

Tandis que les autres continuaient vers le sud, je repartais vers le nord par des routes roulantes tout en évitant l'autoroute. Après un petit-déjeuner à 7:00, j'étais fin prêt pour le départ à 8:00, au moment où les autres pointaient le bout de leur nez. Comme le ciel ne m'inspirait pas confiance, j'ai enfilé ma combinaison de pluie et suis parti vers Moulins où je suis monté sur la N7/A77. Je pensais à l'origine pouvoir utiliser le road-book du retour prévu le 1 mai mais, en y réflechissant à deux fois, je craignais d'arriver trop tard pour déposer la moto au garage le soir. Alors, j'avais décidé de prendre les grands axes en me fiant à mon flair et au Garmin en cas de nécessité. Le seul problème est que je n'ai pas encore installé la prise pour le GPS ce qui me donnait une autonomie limitée à 4 heures.

Comme vous pouvez le constater, ma route n'a pas été aussi directe que j'espérais ce qui est dû en partie à mon GPS qui m'a fait passer par le centre de Troyes et voulait me faire passer par Châlons-en-Champagne. J'ai donc rejoint un itinéraire archi-connu qui passe par Vitry-le-François pour remonter par Sainte-Ménehould, Vouzier, Le Chêne, Poix-Terron, Signy-l'Abbaye, Rocroi et Couvin. Je n'avais pas prévu non plus tous les camions qui empruntent le tronçon entre Signy-l'Abbaye et Couvin mais je suis arrivé à la maison après huit heures et demie de route et après avoir suivi la déviation sur la N5 en travaux.

Je suis allé déposer la Moto Guzzi au garage vers 17:30 où le patron m'a prêté un monstre de puissance pour un jour. J'avoue que je n'en menais pas large sur cette moto qui, bien qu'elle soit tout à fait maniable, n'est pas du tout mon genre. Je me vois mal faire 600+ kms en une journée par les petites départementales. Et ne parlons pas de conduite sous la pluie ou sur routes mouillées. C'est surement faisable pour des motards plus expérimentés mais je n'avais pas envie d'essayer et cette GSX S-1000 est restée sagement dans mon garage une fois rentré à la maison.

vendredi 24 avril

Vous l'aurez compris, j'avais une journée de repos ce vendredi pendant que ma moto se faisait bichoner chez Mecanic Motos. J'en ai profité pour faire quelques courses et passer chez le coiffeur. J'ai récupéré ma moto le vendredi soir après avoir versé 221 euros pour ce premier entretien.

samedi 25 avril

J'avais bien préparé cette deuxième descente dans le sud en (1) gardant un oeil sur les prévisions météo et (2) me concoctant un road-book qui évitait au maximum les zones de pluies annoncées. Je crois que je m'en suis bien sorti car j'ai pu éviter les grosses averses. J'avais enfilé ma combinaison de pluie avant mon départ à 7:00 et ce n'est qu'à Moulins que le ciel s'est dégagé et que la pluie a cessé. J'avais emporté un pique-nique avec moi et je n'ai donc pas perdu de temps à midi. En plus, la V7 ayant un réservoir de 21 litres et une consommation de 4,5 l/100, je n'ai pas eu besoin de m'arrêter souvent pour faire le plein. Contrairement à la Cagiva qui passait en réserve après 230 kms, le témoin de passage sur la réserve sur la V7 s'allume vers 320 kms et elle peut facilement parcourir 400 kms avant de ravitailler.

Arrivé à Saint-Pourçain vers 16:00, j'ai donc décidé de continuer ma route en utilisant le road-book du lendemain. Je n'avais pas réservé mon hôtel et avais pris soin la veille de regarder sur internet ce qu'il y avait comme possibilités plus loin. C'est donc à Aubière, au sud de Clermont-Ferrand, que je me suis arrêté après avoir suivi les gorges de la Sioule. Le temps s'étant fort amélioré, j'ai pu faire une ou deux haltes pour prendre des photos. J'aurais même eu le temps d'aller visiter le musée de l'automobile à Saint-Bonnet-de-Tizon sur la D43 mais je crois qu'il était fermé.

Je suis arrivé à Aubière vers 18:00 et me suis arrêté au Campanile où j'ai pris une chambre avec repas du soir et petit-déjeuner pour 80 euros. Mon seul regret est que la nourriture est insipide et que j'aurais mieux fait de sortir le soir dans un des nombreux restaurants aux alentours.

dimanche 26 avril

Il faisait beau ce matin et bien que la température n'était pas très élevée, j'ai pris la route sans avoir enfilé ma combinaison de pluie. Si j'avais suivi le road-book, j'aurais dû partir sur la A75 pendant 170 kms et cela ne me disait rien. La Moto Guzzi V7 peut être confortable, ce n'est pas une moto pour faire des kilomètres sur autoroute. Me trouvant non loin de Billom (que je connais bien pour y avoir passé mon enfance), j'ai décidé de me fier à ma boussole interne et prendre les petites routes pour rejoindre Ambert. J'ai donc eu l'occasion de passer par Saint-Julien-de-Coppel et Pointilloux (que de bons souvenirs) avant de rejoindre la D225 puis la D996 qui serpente à travers le parc naturel du Livradois-Forez.

Arrivé à Ambert, j'ai bifurqué plein sud vers La Chaise-Dieu et Le Puy-en-Velay que j'ai soigneusement évité en prenant la D25 à Saint-Paulien pour retrouver la D906 à Loudes puis direction Mende par la N88. Cette route nationale est fantastique, surtout la descente sur Mende, mais il faut faire attention aux radars. Je m'étais arrêté à La Chaise-Dieu pour enfiler ma combinaison de pluie car le ciel devenait menaçant. Je n'en ai pas vraiment eu besoin avant Millau mais elle m'a servi à me protéger du froid car le soleil s'est caché en sortant des gorges du Tarn que j'avais pris soin de rajouter à mon parcours.

Arrivé à Millau, je suis monté sur le plateau de Larzac par la D809 (très chouette route) où j'ai rejoint la A75 et où il faisait un temps dégueulasse: brouillard, pluie, vent et froid. J'ai voulu m'arrêter à l'aire d'autoroute de Larzac mais c'était plein à craquer et j'ai donc continué ma route. Je n'avais pas encore mangé et je commençais à ressentir la faim mais j'ai préféré poursuivre dans la pluie en espérant que le temps s'éclaircisse plus au sud. Et ce fut le cas. Après une descente limitée à 70 km/h et le passage dans un tunnel, le temps s'est un peu amélioré et, en voyant les panneaux qui indiquaient des noms connus, j'ai décidé de quitter l'autoroute en direction de Sète. J'avoue que je me suis un peu perdu et je me suis retrouvé à Marseillan-plage en pensant trouver un café avec vue sur la Méditérranée où je pourrai manger un bout.

Rien du tout ! Je ne devais pas être au bon endroit. J'ai donc sorti mon GPS et ai programmé la destination à Armissan en évitant les routes à péage et l'itinéraire le plus rapide. C'est donc en empruntant toutes sortes de petites routes que je suis arrivé à destination vers 16:00. J'ai interrompu la "sieste" de Nicolas et Martine (je m'en veux toujours) pour qu'on m'ouvre la porte de la grande maison rue de la mairie et où j'ai eu le temps de prendre une bonne douche après m'être installé.

Henri, Didier, Jacques et Solange sont revenus de leur balade dans les Corbières vers 18:30 puis nous sommes allés chez Nicolas et Martine pour un délicieux repas du soir.

lundi 27 avril

Après que Jacques soit allé chercher les croissants et les baguettes tôt le matin, nous avons pris le petit-déjeuner dans la grande salle-à-manger tout en consultant la météo à interval régulier au cas où les prévisions s'amélioreraient, ce qui ne fut pas le cas: la pluie était au rendez-vous avec même une possibilité d'orage en fin de journée. C'est pourquoi j'ai enfilé ma combinaison "canari" avant de partir.

Le road-book "Couvertoirade" n'étant pas chargé dans mon Tripy, j'ai dû suivre les autres à l'aller. Nous nous sommes arrêtés en chemin sur le pont de l'Orb sur la D14 pour prendre quelques photos avant de continuer sur Bédarieux en travaux puis Lunas pour la pause café. Quand la pluie s'est un peu calmée, nous sommes repartis vers Lodève et Le Caylar avant d'atteindre La Couvertoirade où nous avons mangé nos sandwichs. La visite du village fortifié sous une petite pluie fine s'est terminée dans un café où j'ai offert la boisson et la gaufre (délicieuse) à tous.

Au moment de prendre la route du retour, vu l'inquiétude générale concernant les risques d'orage, nous avons décidé de rejoindre la A75 jusqu'à Béziers puis la N9 jusqu'à Coursan. Nous n'avons pas eu trop de pluie et sommes arrivés à Armissan en fin d'après-midi. Le repas du soir consistait en des restes de la veille et de l'avant-veille ou des tartines au fromage. Et la soirée s'est terminée devant la télé avec une émission sur les années de l'après-guerre en France, très instructive mais pas très réjouissante.

mardi 28 avril

Au programme de la journée: le musée Dali. Enfin, c'est ce que je croyais et c'est ce que j'aurais pu faire... Les explications vont suivre.
Commençons par le petit-déjeuner que je suis allé chercher à la boulangerie du coin puis un regard attentif aux prédictions météo: beau temps sec mais grands vents avec risques de rafale. Au moins, on n'aura pas besoin de nos combinaisons de pluie.

Nous sommes donc partis en direction de l'Espagne avec 80 kms d'autoroute pour contourner Perpignan et sortir à Boulou où nous avons piqué plein est pour rejoindre Argelès-sur-mer et la côte méditérranéenne que nous avons longée par la route de corniche. Nous avons traversé les villages de Collioure, Port-Vendres et Banuyls-sur-mer et nous sommes arrêtés au cap Cerbère avant d'entrer en Espagne. C'est là que Didier a cru que le vent allait le faire tomber avec sa moto tant il soufflait fort. C'est vrai que c'était assez impressionant.

Après une petite heure de route, nous sommes arrivés à Port Lligat où se situe la maison de Dali. Je croyais que nous allions visiter le musée (qui se trouve en fait à Figueres) mais il parait que Jacques avait préféré la maison de Dali où quelques oeuvres sont aussi exposées. Malheureusement, il fallait réserver la visite à l'avance et il n'y avait plus de place pour nous. Nous avons mangé notre pique-nique à l'abri du vent avec vue sur la baie, vue que Salvador Dali lui-même avait demandé qu'elle soit conservée et qu'aucun batiment ne soit construit.

Au moment de repartir, le vent soufflait toujours très fort et deux groupes se sont formés: Didier, Jacques et Solange ont décidé de faire une halte à Figueres pour visister le musée tandis que Henri et moi avons préféré remonter vers la France par les petites routes plutôt que par l'autoroute. Apparemment, les deux groupes ont eu raison:
- Didier, Jacques et Solange ont fort apprécié le musée de Dali mais ont dû remonter par l'autoroute contre le vent
- Henri et François ont apprécié les petites routes qui traversent les Corbières et n'ont pas été gêné par le vent.

Nous nous étions fixé rendez-vous le soir à Narbonne-plage pour le souper au restaurant. Après quelques recherches et sur les conseils de Martine, nous avons opté pour l'Albatros non loin de la digue. Nous sommes rentrés à la maison vers 22:00 ce qui m'a permis de constater que l'éclairage de la Moto Guzzi n'était pas au top. Il faudra que je pense à régler mon phare.

mercredi 29 avril

Petit-déjeuner offert par Didier qui a demandé à Jacques d'aller chercher les croissants... Au programme du jour: la côte jusqu'à Aigues-Mortes. Et chance, il faisait beau. En passant par les petites routes entre Narbonne et Béziers, nous nous sommes perdus et je me suis retrouvé devant sans comprendre comment. Il faut dire que Javques roulait tellement lentement qu'il n'a pas été difficile de le perdre. C'est aussi pourquoi Henri et moi nous sommes retrouvés seuls à Sète où nous avons choisi de nous arrêter prendre un café en terrasse sur le vieux port en attendant les autres.

Après une longue attente, nous sommes repartis en direction de Aigues-Mortes où nous avons retrouvé Didier, Jacques et Solange sur le parking moto à l'entrée nord de la ville. La visite de la vieille ville s'est terminée au café avec une glace. Certains en ont profité pour faire quelques achats-cadeaux et, encore une fois, deux groupes se sont formés, les mêmes que la veille:
- Didier, Jacques et Solange ont voulu progressé jusqu'à Saintes-Maries-de-la-mer tandis que
- Henri et moi avons préféré rentrer par les petites routes pour éviter l'autoroute payante.

J'ai donc encore une fois allumé mon Garmin pour qu'il nous guide sur Montagnac en évitant soigneusement Montpellier. De là, nous avons pris la A75 puis avons contourné Béziers pour retrouver la N9 jusqu'à Coursan. Nous sommes arrivés à Armissan une bonne heure avant Jacques et Solange. Didier quant à lui avait quitté le groupe pour rejoindre sa maison en Provence. Le soir, nous avons soupé chez Nicolas et Martine qui nous ont encore une fois offert le repas.

jeudi 30 avril

Avant-dernier jour du voyage et premier jour de remontée vers la Belgique qui se faisait en deux étapes avec un arrêt à Saint-Pourçain (comme à l'aller). Jacques et Solange roulaient avec nous jusqu'à Millau puis bifurquaient vers Rodez en direction de la Bretagne. Henri et moi continuions plein nord par les gorges du Tarn. Comem j'avais noté à l'aller que la route entre Le Rozier et Les Vignes était en travaux avec un "risque d'attente important" (dixit la DDE), j'avais suggéré à Henri de modifier le road-book; c'est pourquoi nous avons emprunté la D9/D32 pour arriver à Mende en passant par Le Massegros et Chanac.

Nous nous sommes arrêtés dans un petit restaurant à 5 kms au nord de Mende après y avoir fait le plein. Ensuite, la N88 (formidable route à moto) nous a conduit en direction du Puy-en-Velay que nous avons contourné, comme à l'aller, par Loudes et Saint-Paulien où nous avons retrouvé la D906. De là, nous avons traversé La Chaise-Dieu, Ambert, Olliergues, Courpière, Puy-Guillaume, Saint-Yore pour arriver sur Vichy. Et je ne peux que recommander vivement d'éviter cette ville un jour de semaine aux heures de sortie de bureau. Nous sommes arrivés à Saint-Pourçain avant 18:00 ce qui nous a permis de nous reposer et prendre une douche avant de passer au restaurant d'à côté. La soirée s'est terminée dans la chambre devant la télé.

vendredi 1 mai

Que d'eau, que d'eau ! Henri et moi sommes partis à 8:30 de l'hôtel après avoir enfilé nos combis de pluie malgré le fait qu'il ne pleuvait pas encore. Mais ça n'a pas tardé: une petite pluie fine a vite apparu avant Moulins et ne nous a plus quittés jusqu'à la Belgique. Les routes étaient inondées par endroit et j'ai été un peu surpris la première fois sur la route qui longe l'Allier: j'ai vu une grande flaque d'eau sur la route seulement quelques mètres avant, bien trop tard pour freiner, et j'ai préféré bloquer les coudes et passer bien droit sur la vingtaine de mètres. Une grande gerbe d'eau a jailli des deux côtés et la moto a ralenti toute seule en traversant la partie inondée de la chaussée.

Un peu plus loin, dans la région de la Puisaye, il y avait dû avoir un bel orage pendant la nuit car une quantité d'eau importante coulait dans les bas-côtés qui s'étaient transformés en torrents ou traversaient la route par endroit en formant des étangs sur la chaussée. Un spectacle inhabituel mais qui aurait pu être dangereux si la visibilité avait été moins bonne.

Ce n'est qu'une fois arrivé en Belgique que j'ai vu mon premier coin de ciel bleu et c'est à Villers-la-ville que le ciel s'est dégagé et que la température a atteint son maximum de la journée, c'est-à-dire 15°C. Entre temps, Henri m'avait quitté à Rethel préférant rentrer direct sur Seloignes sans passer par Couvin. Nous avions bien roulé depuis Saint-Pourçain en nous arrêtant une seule fois à Romilly-sur-Seine pour prendre de l'essence et nous restaurer au Macdo. J'aurais pu (ou dû) m'arrêter à Villers-la-ville car il y avait un rallye d'ancêtres sur le parking de l'abbaye mais, à 10 kms du but, je n'avais qu'une seule envie: arriver à la maison après 600 kms en neuf heures et demie.

Epilogue

Avec la Moto Guzzi Breva, j'avais mal au poignet gauche après quelques centaines de kilomètres. Avec la Cagiva Navigator, j'avais mal au poignet droit après une cinquantaine de kilomètres, ce qui m'a d'ailleurs poussé à me faire opéré du canal carpien mais qui n'a eu aucun effet. Avec la Moto Guzzi V7, je n'ai mal à aucun poignet mais j'ai un peu mal à l'épaule droite après trop de kilomètres sans changer de position, typiquement sur autoroute. Cela est dû à une lésion de fa face profonde du secteur antéro-supérieur de la coiffe des rotateurs. Pour ceux qui ne comprennent pas trop bien (comme moi), cela veut dire que mon tendon à l'épaule droite est déchiré. Bonne nouvelle: ce n'est pas dû à la moto.

Conclusion: cette moto est fantastique et présente un bon achat. Elle n'est certes pas très puissante et il faut donc adapter sa conduite mais elle vire formidablement bien et est très confortable aussi bien sur petites routes que sur autoroute à vitesse autorisée.

Les photos

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